Développer sa présence en ligne est aujourd’hui une nécessité pour vendre ; parmi les leviers mobilisables sur Internet pour développer ses ventes :
- asseoir sa crédibilité et sa réputation,
- gagner en visibilité et étendre sa zone de chalandise,
- assurer une présence 24h/24 et 7j/7 et mieux toucher la clientèle éloignée ou fonctionnant en horaires décalés,
- s’armer par rapport à la concurrence,
- procéder à des promotions de manière plus ciblée,
- prospecter de manière massive, de garder un lien de confiance avec ses clients épisodiques…
C’est pourquoi est mis en place un dispositif d’aide visant à cofinancer la création de sites e-commerce et les actions sur le renforcement de la visibilité en ligne :
- dépenses jusqu’à 500€ : prise en charge à 100 %
- plus de 500€ de dépenses : prise en charge à 50% sur la partie au-delà de 500€ et à 100% sur la partie jusqu’à 500€
Qui peut en bénéficier ?
- Les artisans et commerçants, avec ou sans points de vente, sédentaires ou non, vendant des produits ou services de manière quotidienne ou fréquente à des particuliers.
- Les agriculteurs, éleveurs et viticulteurs assurant de la vente aux particuliers
⇒ avec leur siège social en Auvergne-Rhône-Alpes et un effectif de moins de 10 salariés.
Sont exclues les franchises et les professions libérales.
Pour quels projets ?
- les dépenses en investissement (inscrites à l’actif de l’entreprise) pour le développement, l’optimisation, la réalisation et l’acquisition d’un site internet
- les dépenses de fonctionnement (inscrites dans les charges de l’entreprise) :
- dépenses de publicité digitale, solutions de fidélisation (achat publicitaire, carte fidélité, envoi sms et newsletter, …)
- frais de référencement, achat de mots clé, stratégie de présence sur les réseaux sociaux
- achat de nom de domaine, frais d’hébergement, géolocalisation de l’entreprise
- abonnement à un logiciel de création de site en SaaS, frais d’optimisation et de formation
- solutions digitales pour booster les ventes en ligne (livraison à domicile, Marketplace, click and collect, mise en place d’application de vente en ligne, ….)
Sont prises en compte les dépenses depuis le 1er janvier 2020 et jusqu’au 30 septembre 2022.